UNEATLANTICO a participé à une étude sur les bienfaits de la consommation d’un extrait de fraises sur la maladie d’Alzheimer

12 Avr 2022
UNEATLANTICO a participé à une étude sur les bienfaits de la consommation d’un extrait de fraises sur la maladie d’Alzheimer
Étude d’un extrait de fraises et ses bienfaits sur l’Alzheimer

Une recherche axée sur les composants bioactifs de la variété de fraise Romina, à laquelle a participé l’Université Européenne de l’Atlantique, a démontré la capacité de cet aliment à retarder la paralysie induite par la protéine β-amiloïde, à réduire l’agrégation de la β-amiloïde et éviter le stress oxydatif dans le modèle expérimental Caenorhabditis elegans.

En outre, cette étude a vérifié la richesse de l’extrait de fraise utilisé en ce qui concerne sa teneur en composés phénoliques (principalement l’acide ellagique et pelargonidine-3-glucoside) et en minéraux (K, Mg, P et Ca).

La variété de fraise Romina se distingue par sa grande adaptabilité aux sols non traités et à la culture en plein champ dans des conditions climatiques allant de l’Adriatique au centre-nord de l’Europe, par sa résistance aux maladies, ainsi que par sa qualité nutritionnelle et sa maturation précoce.

Les auteurs de l’étude soulignent que, malgré les bienfaits de la consommation de fraises pour la santé, il existe peu d’informations sur la relation entre ce fruit et les maladies neurodégénératives telles que la maladie d’Alzheimer.

La recherche a été menée par les docteurs suivants : María D. Navarro-Hortal, Jose M. Romero-Márquez et Jose L. Quiles (Département de Physiologie, Institut de nutrition et de technologie des aliments « José Mataix », Centre de recherche biomédicale, Université de Grenade), Adelaida Esteban-Muñoz (Département de Nutrition et de bromatologie, Université de Grenade), Cristina Sanchez-Gonzalez, Juan Llopis et Lorenzo Rivas-García (Département de Physiologie, Institut de Nutrition et de technologie des aliments « José Mataix », Centre de recherche biomédicale, Université de Grenade) ; Centre de Recherche Sport et santé), Danila Cianciosi (Département de Biochimie, Faculté des sciences, Université King Abdulaziz), Francesca Giampieri et Maurizio Battino (Département des Sciences cliniques, Università Politecnica delle Marche), Sandra Sumalla-Cano (Groupe de recherche sur les aliments, la biochimie nutritionnelle et la santé, Université Européenne de l’Atlantique)

L’article complet est disponible ici.